Vous adorerez le CRE (Commercial Real Estate - immobilier commercial). Il s'agit de produits financiers conçus sur le même principe que le subprime mais qui ont résisté plus longtemps (leurs difficultés étant une conséquence des difficultés du consommateur).
A l'été 2007 (juillet), les agences de notation ont baissé les notes des produits subprime et ça a marqué le début de la crise financière. De même là, Moody's annonce la revue des notes sur $300 milliards de dettes dans le CRE. Ce sont des revues similaires qui avaient marqué le début de la crise en juillet 2007. Il semble que cette fois-ci, les marchés aient pris les devants (les spread sont déjà élevés). Néanmoins, pour tous ceux qui espéraient un rebond au deuxième semestre, c'est rapé. Il faut reconnaître qu'ils n'étaient plus nombreux.
vendredi 6 février 2009
Sarko Obama
D'après le canard, il semble que Sarko n'ait pas réussi à obtenir une visite d'Obama avant le G20 d'avril malgré des efforts importants. Aussi, je reproduis (presque intégralement) ici une brève de la page 2 du canard:
L'Elysée broie du noir
La conversation téléphonique que Sarkozy a eue - enfin- avec Barack Obama, le 21 janvier, ne lui a pas remonté le moral. Il a trouvé le président américain encore plus pessimiste qu'il ne le pensait sur l'Etat de l'économie mondiale. Sarko, d'une "humeur de dogue", paraît-il, en a reparlé cette semaine devant son staff:
"Le pire est à venir aux USA! Il va y avoir en core des dégâts considérables dans les banques. Et les assurances vont suivre. En France aussi, ça va merder sur tous les fronts. Au mieux, le pouvoir d'achat va stagner. Et s'il y a moins de 400,000 chômeurs supplémentaires en 2009, il faudra s'estimer heureux. Ca va être violent. On ne sait ni quand ni comment cela va se terminer."
L'Elysée broie du noir
La conversation téléphonique que Sarkozy a eue - enfin- avec Barack Obama, le 21 janvier, ne lui a pas remonté le moral. Il a trouvé le président américain encore plus pessimiste qu'il ne le pensait sur l'Etat de l'économie mondiale. Sarko, d'une "humeur de dogue", paraît-il, en a reparlé cette semaine devant son staff:
"Le pire est à venir aux USA! Il va y avoir en core des dégâts considérables dans les banques. Et les assurances vont suivre. En France aussi, ça va merder sur tous les fronts. Au mieux, le pouvoir d'achat va stagner. Et s'il y a moins de 400,000 chômeurs supplémentaires en 2009, il faudra s'estimer heureux. Ca va être violent. On ne sait ni quand ni comment cela va se terminer."
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