Lors de sa conférence de presse au sujet des 100 premiers jours de sa présidence, un journaliste a demandé à Obama ce qui l'avait le plus surpris, le plus plus enchanté, le plus "rendu plus humble" (je n'ai pas trouvé meilleure traduction pour "humbled") et le plus perturbé durant ces 100 premiers jours.
Ce qui a rendu Obama plus humble de son propre aveu, ce sont les limites du pouvoir de la présidence face aux autres centres de pouvoir dans la société américaine. Il cite les banques et le congrès.
Humbled by the — humbled by the fact that the presidency is extraordinarily powerful but we are just part of a much broader tapestry of American life. And there are a lot of different power centers, and so I can’t just press a button and suddenly have the bankers do exactly what I want, or turn on a switch and suddenly Congress falls in line. And so what you do is to make your best arguments, listen hard to what other people have to say, and coax folks in the right direction.
lundi 25 mai 2009
Inscription à :
Articles (Atom)