mercredi 13 avril 2011
400 millions d'euros pour stabiliser la Côte d'Ivoire
C'est pas cher si on considère qu'il a fallu 285 millions d'euros pour "stabiliser" le seul Bernard Tapie.
La crise financière ou le Munich démocratique
La crise financière a été un munich démocratique. Le peuple, trompé par les médias et trahi par les politiques a envoyé le message suivant aux financiers: "nous vous donnerons ce que vous voudrez tant que vous nous laisserez regarder n'importe quoi sur nos écrans plats".
Les banquiers ont compris et vous pouvez être sûrs qu'ils ne vous laisseront que cela: vos écrans plats. Donc comme lors du Munich original, on peut répéter sans trop adapter: "Entre la crise et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur et vous allez avoir la crise". Je parle ici d'une crise transformatrice et pas du jeux de "smoke and mirrors" que la corruption totale de nos dirigeants a permis de préserver jusqu'ici.
Les banquiers ont compris et vous pouvez être sûrs qu'ils ne vous laisseront que cela: vos écrans plats. Donc comme lors du Munich original, on peut répéter sans trop adapter: "Entre la crise et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur et vous allez avoir la crise". Je parle ici d'une crise transformatrice et pas du jeux de "smoke and mirrors" que la corruption totale de nos dirigeants a permis de préserver jusqu'ici.
Some truth from the FED, at long last...
Evidemment Hoenig n'a plus rien à perdre et part en octobre. Il déclare donc ce que les vieux médias ne cessent de maquiller de manière honteuse: les grandes banques sont devenues de fait des entités publiques pour pouvoir survivre mais se comportent toujours comme des entités privées pour que leurs salariés puissent continuer à se payer des maisons dans les Hamptons. Une citation de Jean-Yves Lafesse s'impose: "Ca peut plus durer". Tic, tac...
La mise à sac du trésor public et la destruction des institutions démocratiques sont désormais terminées. La seule question est combien de temps cela peut-il rester dissimulé?
Et quand les masques tomberont, j'ai bien peur que les banquiers aient beaucoup moins de scrupules que les potentats africains finissants à faire tirer sur la foule.
La mise à sac du trésor public et la destruction des institutions démocratiques sont désormais terminées. La seule question est combien de temps cela peut-il rester dissimulé?
Et quand les masques tomberont, j'ai bien peur que les banquiers aient beaucoup moins de scrupules que les potentats africains finissants à faire tirer sur la foule.
Inscription à :
Articles (Atom)