Au sujet de l'Aghanistan, le New York Times explique à ces idiots de dirigeants européens "How it's done."
Germany’s chancellor, Angela Merkel, and France’s president, Nicolas Sarkozy, have repeatedly stated that their countries have a stake in the future of Afghanistan and the future of NATO. But both are wary of pushing their voters too far, too fast. (Both have essentially postponed their decisions on further troop contributions until late next month.) Democratically elected leaders cannot ignore public skepticism, but they should not surrender to it when they know better.
(Il est conseillé aux dirigeants européens d'être sourds à leurs opinions publiques en ce qui concerne l'Aghanistan.)
On est au coeur du mépris de la démocratie par les élites américaines. C'est vrai sur tous les sujets mais en particulier sur les guerres. Les "gueux" ne sont là que pour payer les rêves de grandeur de leurs élites et donner leurs vies (pour les militaires). Absolument méprisable. (relevé par Glenn Greenwald)
mardi 15 décembre 2009
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3 commentaires:
Ce qui serait interessant de comprendre, c'est pourquoi les americains (selon le meme article du NYT ou meme post sur le blog) sont toujours majoritairement favorables a la guerre. They should know better now
Ca c'est clair: c'est le choix d'Obama qui a entraîné la population dans le soutien à la guerre d'après les sondages. Obama a encore une énorme capacité d'entraînement notamment chez les démocrates qui "veulent y croire" à toute force. La contrepartie, c'est que son approval rating est également tombé au plus bas à ce stade d'un premier mandat d'après Gallup. Tout le monde ne se fait pas avoir! Mais assez pour que la population passe de "désapprouve" la guerre" à "approuve la guerre".
Le probleme aussi (dans ce cas precis, on peut considerer de notre point de vue de francais que c'est un probleme), c'est que les militaires jouissent toujours d'une tres grande aura aux USA. Les gens sont simplement fiers d'avoir un enfant dans l'armee. Je me rappelle dans le film de Moore sur le 11 sep comment il interpellait les membres du parlement en leur demandant si leur fils etait a la guerre, et si ils n'avaient pas honte de voter la guerre alors qu'ils ne "sacrifiaient" pas leur famille eux-memes. En France, on n'entend jamais ce debat. Je serai ainsi curieux de savoir combien de deputes ont un enfant en Afghanistan.
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