Un article du New York Times explique que quand des pays du Club Med ont voulu manipuler leurs comptes publics dans la dernière décennie, ils trouvaient toujours des banques d'investissement avec des produits foireux pour les y aider. Sans surprise et sûrement pas cantonné à ces pays là. On se demande vraiment comment des arrangements aussi grossiers ont pu tromper Bruxelles car cela devait bien être le but... Ce qu'on ne dit pas également, c'est combien de politiques grecs ayant trempé là-dedans ont touché subséquemment des subsides des grandes banques d'une manière ou d'une autre.
“Politicians want to pass the ball forward, and if a banker can show them a way to pass a problem to the future, they will fall for it,” said Gikas A. Hardouvelis, an economist and former government official who helped write a recent report on Greece’s accounting policies.
dimanche 14 février 2010
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