Article sur Richard Fisher, Président de la FED de Dallas. Il affiche son opposition à la monétisation de la dette qui a commencé avec le rachat de $300 milliards de treasuries par la FED. Il dévoile qu'avant chaque meeting de la FED qui détermine sa politique, il contacte 50 CEOs aux Etats-Unis et dans le monde pour prendre le pouls de l'économie. Quel pourcentage de banques, Mr Fisher? Pourquoi ne pas appeler des responsables politiques, administratifs, syndicaux ou des "community organizers"? Eux pourraient vous dire si le marché immobilier est devenu fou par exemple... Il nous dit aussi que de tout temps, les politiciens ont recouru à l'inflation pour effacer des dettes devenues trop importantes et qu' "on ne peut laisser ça arriver". Ca fait sourire.
"Throughout history," he says, "what the political class has done is they have turned to the central bank to print their way out of an unfunded liability. We can't let that happen. That's when you open the floodgates. So I hope and I pray that our political leaders will just have to take this bull by the horns at some point. You can't run away from it."
Good luck with that.
samedi 6 juin 2009
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