Miracle de la finance façon "fin de l'empire", les bonus en 2008 ont excédé de loin les profits dans de nombreuses banques. Hubris. Le pari sur le fait que ça va casser plutôt que passer repose en grande partie sur l'aspect irrécupérable des malades qui nous dirigent.
Ils ne sont pas si malades que ça en réalité: ils agissent comme des acteurs rationnels. Les vrais malades sont les imbéciles qui les laissent faire: les politiques et les citoyens.
mardi 25 août 2009
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1 commentaire:
Comme disait Coluche: "Mais dites-moi, mais jusqu'ou s'arreteront ils?"
En tous les cas, ca promet pour 2009. Si les bonus ont atteint des records en 2008 avec un bon -50% a la bourse, qu'est ce que ca va etre en 2009 quand elle aura fait +20%?
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