Et Manuel Valls d'apporter sa pierre à l'édifice:
"Cela fait près de 30 ans que je fais de la politique" mais "je n'ai jamais vu cela et je n'ai jamais ressenti cela", affirme Manuel Valls, candidat à la primaire PS pour 2012. "Dominique Strauss-Kahn est un ami que je connais de puis longtemps, les images de ce matin sont d'une cruauté insoutenable", ajoute-t-il. "J'avais les larmes aux yeux".
Martine Aubry et François Hollande ont pour l'instant (j'ai l'impression) échappé à cette expression de compassion illimitée envers l'accusé mais pour tout le PS, on a l'impression que c'est DSK la victime. Répugnant.
C'est vrai que pour tous ces courtisans qui étaient tant investis dans le succès de Strauss-Kahn et qui en espéraient positions et avantages, il est sans doute désagréable de penser qu'ils vont devoir recommencer leur lèche à zéro avec une autre personnalité. Mais si. Au boulot!
lundi 16 mai 2011
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