Si nous pouvions réellement avoir touché le fond et être en train de rebondir! Les banquiers auraient une "fighting chance" de préserver leurs positions...
Ce serait inouï. Dans un premier temps les banquiers font un trou de plusieurs trillions en s'enrichissant massivement. Puis dans un second temps, l'attelage Paulson-Geithner bouche ce trou par le biais d'une simple écriture comptable dans les comptes de l'Etat. Tout repart ensuite comme si de rien n'était grâce à la capacité d'endettement infinie des Etats-Unis. End of the Story.
Quelque chose me dit (et je veux bien convenir qu'il s'agit d'un acte de foi) que cela va être beaucoup plus compliqué. Et quand bien même ce serait le scénario de sortie de cette crise, cela ne ferait que paver le chemin vers une crise plus grave car les banques n'auraient alors qu'une hâte: replonger leurs doigts dans le pot de confiture.
Comme pour la guerre en Irak, c'est en postulant qu'il n'y a pas de limites à ce que les Etats-Unis peuvent se permettre que la classe dirigeante actuelle va, tôt ou tard, les mettre à jour. Ce qui nous ramène d'une manière un peu abrupte à La Nouvelle Star
L'occasion également de déclarer officiellement le soutien du Blogo à Camelia-Jordana.
mercredi 13 mai 2009
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