Peter Schiff sur Bloomberg News. Selon lui, la crise devrait être moins grave dans le reste du monde qu'aux Etats-Unis. Espérons qu'il ait raison. Ce serait un juste retour des choses car ils en sont responsables et qu'ils ont également beaucoup plus bénéficié que les autres de la croissance par la dette qui a conduit au désastre. Il est encore trop tôt pour voir une telle tendance se dégager. Pour lui, le dollar va à la cave. "We need a recession: America must stop borrowing and spending and start saving and producing". Indeed.
dimanche 4 janvier 2009
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2 commentaires:
Malheureusement, je reste sceptique quant a la force de l'Europe pour se relever de la crise: Un gros plan europeen de 300 milliards, ce serait autre chose que 10 plans a 30 milliards dans 10 pays avec des objectifs et actions non coordonnees: Mais c'est plutot la deuxieme option qu'on nous sert actuellement. Egalement quand j'entends ce que El Blogo dit sur les assets pourris detenus par les banques et compagnies d'assurance francaises et que d'un autre cote, il n'est encore pour ainsi dire rien sorti dans la presse, ca m'inquiete plus qu'autre chose. Ca ressemble au syndrome "Tchernobyl": Ca peut pas arriver chez nous!
Bon déjà, y a UBS et Credit Suisse qui ont writedowné plein de trucs. Et les banques anglaises. C'est vrai que dans les sociétés d'assurances et d'autres établissements on a l'impression que ça traîne en longueur (faut bien voir que tout le monde freine des 4 fers).
Non si l'Europe s'en sort mieux ce ne sera pas par une capacité de rebond plus grande que les Etats-Unis, ce sera juste en descendant moins bas. Les systèmes sociaux en place, des ménages non "drogués à la dette" devraient empêché que la machine économique ne casse comme aux Etats-Unis. Et une banque centrale moins pourrie.
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